Oedipe Inside

Boris Alestchenkoff

jeudi 22 janvier 2026

Seul-en-scène / Spectacle Découverte

  • 20h00

  • Théâtre Chateaubriand

1h15

Vendredi 23 janvier 2026 – 10h (sous réserve)

À partir de 8 ans

Tarif E : 22€ à 11€

Le mythe d’Œdipe raconté par un clown ! Spectacle Découverte

DISTRIBUTION

La Glorieuse Compagnie


Mise en scène : Antoinette Romero
Jeu : Boris Alestchenkoff
Lumières : Emmanuelle Phelippeau-Viallard



Coproductions Le Samovar, l'Echalier de Saint-Agil

Partenaires Région Centre-Val-de-Loire Département d’indre-et-Loire
 

Photo Julie Bellenger Adda

LE SPECTACLE

Oedipe Inside

 

Le mythe d’Œdipe raconté par un clown !

En convoquant la mythologie par le biais du clown, la Glorieuse Compagnie puise sa mine d’or dans le creuset d’un théâtre antique : "Œdipe Inside" est l’évocation haute en couleurs de ce prince grec au destin funeste, vu par le prisme fin et décalé de Boris Alestchenkoft. Voici une version réjouissante de l’histoire d’Œdipe, fils de souverains, héros frappé du destin prédit par les oracles : tuer son père et épouser sa mère. Témoin narrateur, seul dans l’arène, le clown propose son regard averti : il semble avoir tout vu de la tragédie, en connaît par cœur les protagonistes et reconstitue la saga. 
Mais la narration clownesque de Boris Alestchenkoft déraille savamment. L’air de ne pas y toucher, le malheur d’Œdipe prend une saveur drôle inattendue, parsemée d’allusions à notre époque : l’agent de l’État qui ruisselle, les nouveaux dogmes de l’orthographe, les familles recomposées, dont Œdipe fait allègrement partie. N’est-il pas "amant de sa mère, fils de sa maîtresse, frère de ses fils et père de ses sœurs ?" Notre clown-conteur déclenche nombre de fous-rires. L’oracle du mythe s’y prêtait particulièrement : encore fallait-il convaincre !

 

LA PRESSE EN PARLE
« Très habilement mis en scène par Antoinette Romero, le comédien raconte tout avec presque rien. Un plateau cerclé de lumières, comme une piste de cirque, imageant le destin clos et sans échappatoire du héros. Boris Alestchenkoff incarne à lui seul une multiplicité parfaitement lisible pour le public. Il sait prendre toutes les voix, enchaînant avec virtuosité celle du prince ou du Sphinx, comme celle du devin ou du sage, avec une fluidité pleine d’élégance. » 
LES TROIS COUPS

 

 

À PROPOS